Témoin vivant d'une affaire criminelle gouvernementale, je suis en danger de mort. |
La résolution peut être extrêmement rapide, en 2 ou 3 jours, pour des personnes à l'esprit ouvert et logique.
Comment comprendre rapidement de mon affaire
Première demi-journée
- Visitez le site lionelaubert.info et lisez les pages appelées « niveau 1 », en gardant à l'esprit que ce niveau est celui d'un écran de fumée qui cache des crimes d'État, et donc sans trop vous appesantir (si vous ne comprenez pas certaines choses, tant pis, elles ne sont pas très importantes, passez à la suite). [1 heure]
- Vous pouvez survoler quelques vidéos datées entre 2014 et 2017, pour prendre conscience que l'affaire est réelle et ancienne (on ne trafique pas les dates sur les vidéos de YouTube). [30 minutes]
- Écoutez entièrement la vidéo explicative réalisée ultérieurement en 2021 sur les policiers en civil devant chez moi en 2014 intitulée piège de la DACG. [45 minutes]
- Retournez sur le site lionelaubert.info, et lisez les pages appelées « niveau 2 ».
À cette étape-là, c'est là qu'il faut faire preuve d'intelligence.
Vous pouvez vérifier la législation que je cite, selon laquelle les plaques d'immatriculation des véhicules « administratifs » avaient disparu entre 2008 et 2013, et qu'il n'y avait aucune raison de conserver de tels véhicules pour en faire usage contre moi 6 mois plus tard. Posez-vous la question sur la raison de la présence de policiers niçois devant chez moi (ils ont fait 2 h 30 à 3 h de route à l'aller et autant au retour pour se mettre en planque devant chez moi un dimanche). Lisez également la page d'Olivier Rabot (fonctionnaire de la DACG, détails sur le site lionelaubert.info, rubrique « intervenants »).
À ce niveau-là, je vais être « direct » : si vous persistez à croire que mon problème est limité aux Bouches-du-Rhône, au parquet d'Aix et aux policiers d'Istres, bingo ! Vous faites partie de la majorité des Français, soyez en fiers. (Par contre, il y a très peu de chance que vous puissiez gagner la prime de 100 000 euros, car dans votre esprit, vous n'entrevoyez pas de moyen de sortir de la situation en 2 ou 3 jours autre que la méthode Coué « il n'y a pas de danger ».)
Si vous comprenez que la voiture « administrative » de police a servi à piéger d'autres personnes que moi au moins entre décembre 2013 et mai 2014 (peut-être une sortie par mois…), alors vous devinez que les autres personnes piégées, qui n'ont pas eu mes réflexes (regarder la plaque d'immatriculation et demander la préservation des enregistrements de vidéo-surveillance) ont été envoyées, sur la base de faux témoignages policiers, en prison ou hôpitaux psychiatriques (relisez la page dédiée à Olivier Rabot, et prenez conscience qu'au sein de la DACG, il travaille conjointement à la fois avec les services pénitentiaires et avec les services psychiatriques).
Prenez conscience que si mes informations sont exactes, à savoir qu'il existe une officine ministérielle, le bureau de la police judiciaire au sein de la DACG, ministère de la Justice, qui fomente des pièges pour envoyer en prison ou en HP des innocents qui dérangent les gouvernants ou d'autres personnes influentes (dans mon cas, j'avais parlé de francs-maçons), que ceci est un crime puni par 30 ans de prison (article 432-4 du Code pénal), voire se rapproche de ce qu'on appelle les « disparitions forcées » (lien sur Wikipédia).
Pointer en France une organisation gouvernementale auteure de disparitions forcées entraîne un scandale d'État sans précédent. |
Voilà pourquoi je dis qu'ils veulent me tuer.
Votre première demi-journée de travail prend fin avec cette prise de conscience.
Deuxième demi-journée : les vérifications et appels téléphoniques
De toute ma vie, je n'ai jamais eu d'intention suicidaire ni fait de tentative.
Lisez le rapport truqué par le psychiatre Gilbert Fabre qu'on m'a fait rencontrer en garde à vue en 2019. Il me trouve courtois, et déclare ne pas voir chez moi de raison de pratiquer d'internement ordonné par l'autorité policière (le préfet).
Puis il déclare qu'il va voir la policière (probablement Justine Vérani) qui lui transmet des documents selon lesquels je peux être dangereux contre les autres mais aussi contre moi-même (en langage psychiatrique, être dangereux contre soi signifie avoir des volonté suicidaires).
Le document fabriqué par le psychiatre, parce qu'il contient de fausses affirmations (mes prétendues tendances suicidaires que je nie) devient ce qu'on appelle un « faux intellectuel ». Dès lors, un faux document, lorsqu'il est dénoncé tel quel, peut être publié (ce n'est plus un document médical confidentiel).
- Appelez le docteur Gilbert au 06 85 41 21 65 (il exerce au 83, boulevard du Redon à Marseille) et demandez-lui sur quoi il se base pour avoir déclaré que j'aurais des tendances suicidaires lors d'une garde à vue. [30 minutes maxi]
- Appelez la policière Justine Vérani au 04 31 39 85 66 (située à la fois l'Évêché et au 2, rue Antoine-Becker à Marseille ; affaire n° 2019/02124) ainsi que sa cheffe Carole [30 minutes]
- Accessoirement, vous pouvez contacter au parquet de Marseille la substitut du procureur Sophie Bot, qui avait déligenté mon arrestation en 2019 (elle a ensuite été mutée d'Aix vers Marseille). [facultatif, un quart d'heure ?]
- Accessoirement encore, vous pouvez vous plonger dans le détail du procès verbal de ma garde à vue, toujours publié sur lionelaubert.info [facultatif, 1 heure]
Mettez en parallèle les découvertes que vous avez faites dans la matinée (crimes d'État que je dénonce depuis des années, bien avant ma garde à vue puis ma fuite) avec les réponses de la police marseillaise qui se contente d'enquêter sur une prétendue dénonciation calomnieuse contre une policière d'Istres (Céline Viciana, qui avait déjà tenté de m'envoyer en psychiatrie en 2014, et qui va personnellement porter plainte contre moi en 2019). Est-ce crédible, ou est-ce un écran de fumée ?
Dans tous les cas, les réponses du Dr Fabre et de la policière Vérani n'intéresseront pas vos lecteurs (si vous êtes un média). Ce qui va les intéresser, c'est que vous vous penchiez sur les éventuelles disparitions forcées organisées par la DACG.
Vous commencez à rédiger un premier article sur le piège de 2014.
Deuxième et peut-être troisième journée
Vous publiez les premiers résultats de votre enquête.
Comprendre les mises à pied préventives
Il faut comprendre que si les autorités (police, justice) veulent réellement établir la vérité sur les affaires de disparitions forcées en 2014 (2014, c'est la date de la preuve grâce à ces véhicules qui n'existaient plus, mais on doit s'attendre à ce qu'il y ait eu de nombreuses autres disparitions avant 2013, et que celles-ci ont continué après 2015), alors les personnes dénoncées vont être mises à pied du jour au lendemain pour préserver les preuves et éventuellement libérer les personnes innocentes encore détenues dans des prisons ou des asiles de fous. (Une mise à pied n'est pas une punition, ce n'est qu'une mesure de prévention — d'ailleurs, les personnes mises à pied peuvent continuer à percevoir leur salaire).
En revanche, si ces mêmes autorités participent à ces crimes d'État, alors ces autorités vont tout faire pour étouffer les affaires, à commencer par maintenir en place les personnes mises en cause (Justine Vérani, sa cheffe, le psychiatre Fabre, mais aussi le maire Bernardini qui conserve des enregistrements, et d'autres personnes encore) afin que celles-ci détruisent tous les éléments compromettants dans les jours qui viennent.
Voilà pourquoi ma situation peut être réglée sous 2 à 3 jours maximum.
Si elle n'est pas réglée dans ce délai, c'est que les autorités continuent à vouloir étouffer le scandale et vouloir ma disparition.
Autrement dit : vous vous débrouillez pour que l'affaire soit réglée en 2 ou 3 jours et vous percevez vos 100 000 euros. Sinon, c'est que les autorités veulent toujours me faire disparaître et vous ne toucherez pas ces 100 000 euros. Compris ?
Les difficultés pour la majorité des gens
La difficulté va venir du fait qu'une majorité de personnes ne voudront pas voir dans cette affaire la remise en question de certains pans de la justice française, et préféreront s'embarquer dans des fausses pistes, celles d'une affaire personnelle (avec l'affaire de la rançon en 2008). Ces pistes sont des écrans de fumée.
Je ne suis pas là pour convaincre la majorité des gens (qui se trompent). Si vous voulez étudier des fausses pistes, allez-y, mais vous ne parviendrez pas à toucher la prime de 100 000 euros dans les délais (vous aurez toujours plusieurs mois de retard).
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