Témoin vivant d'une affaire criminelle gouvernementale, je suis en danger de mort.

Alors, j'offre une prime conséquente de 100 000 euros (« 100 k »),
voire peut-être plus (à discuter…) pour ceux qui m'aideront. 

[Archive] Que faut-il comprendre, et quelles actions obtenir ?

Par lionel, 9 juillet, 2023

Je prétends que le traquenard que j'appelle « piège de la DACG », qui m'a été tendu en mai 2014 était trop sophistiqué pour ne m'avoir été tendu qu'à moi.

Il y a plusieurs détails sur lesquels vous devrez obligatoirement vous pencher pour prétendre commencer votre travail sérieusement.

Lisez la description que j'en fais sur mon site lionelaubert.info, à la rubrique « niveau 2 ».

Écoutez attentivement mon témoignage vidéo :

 

 Si vous décelez quelque chose d'anormal, vous pouvez continuer, vous êtes sur la bonne piste (je vais continuer la rédaction de ce présent site 100k-aubert.fr chaque jour pour que nous restions efficaces).

Sinon, si vous ne voyez rien d'anormal dans la présence d'une voiture qui n'était plus censée exister, avec des policiers en civil dedans lorsqu'on me fracture ma porte, la recommandation que je vous fais est d'arrêter vos investigations, vous n'arriverez jamais au bout en quelques jours de plus.

 

Quelles actions obtenir ?

À ce niveau-là, ce ne sera plus forcément à nous d'agir, mais aux différents fonctionnaires ou agents de l'État : quand les rouages du piège seront dénoncés, le gouvernement souhaitera-t-il maintenir des criminels en place ?

(Rappel de la terminologie juridique : un « criminel » est une personne qui commet une action réprimée par 15 ans ou plus de réclusion — un violeur est un criminel, un agent de l'État qui commet des faux documents pour arbitrairement priver de liberté un innocent est un criminel, etc.)

Il ne peut pas exister en France une dénonciation de crimes en cours que l'on laisse se poursuivre. Certes, certains d'entre vous qui ne connaissent pas grand chose en matière pénale diront que ça arrive. Mais c'est par méconnaissance du droit.

Il existe 2 types de « police », l'une dite administrative, qui sert à empêcher n'importe quelle infraction en cours ou à venir (pas assez utilisée), et l'autre, plus connue, qui est la police judiciaire, qui sert à récolter des preuves ou des éléments d'infractions terminées. Et les gens qui ne connaissent pas le droit confondent ces deux actions de police, et croient, à tort, que ça peut prendre des années pour faire arrêter des infractions en cours.

Dans le piège gouvernemental que je dénonce, j'affirme que plusieurs innocents ont été incarcérés à tort, ou alors internés à tort, de manière arbitraire, sur la base de faux documents policiers diligentés depuis le « bureau de la police judiciaire », service de la DACG, au sein du ministère de la Justice, entre autre par son chef de l'époque, Olivier Rabot. Mais cet homme était trop jeune pour avoir inventé le plan à lui seul. Ce traquenard a été fomenté et rodé durant des années et des années. Le fait que des policiers niçois aient gardé des véhicules aux vieilles plaques plusieurs mois avant mon affaire montrait que le piège n'était pas dressé pour moi, à l'époque inconnu de leurs services.

Quand on a compris qu'en ce moment des innocents croupissent dans des prisons (c'est un crime puni de 30 ans de réclusion pour leurs auteurs policiers et magistrats, selon l'article 432-4 du Code pénal), alors il n'est pas possible de se dire : « Je sauve M. Aubert pour toucher la prime de 100 k€ mais je laisse les autres innocents à leur triste sort. » Car celui qui s'imagine pouvoir me sauver se berce d'illusions : quelques semaines ou quelques mois après que je sois entré de retour en France, les policiers viendront m'arrêter avec un nouveau prétexte bidon. Non, ma sécurité est intimement liée à celle des autres innocents qu'il faut faire sortir de prison.

En ce moment, vous qui découvrez cette affaire, avez besoin d'un peu de réflexion et de recul. Une fois que ce sera fait, vous comprendrez plus facilement les actions assez faciles à entreprendre pour que vous puissiez percevoir les 100 000 euros.

Mais pour l'instant, réfléchissez sur cette affaire.

 

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