Témoin vivant d'une affaire criminelle gouvernementale, je suis en danger de mort.

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voire peut-être plus (à discuter…) pour ceux qui m'aideront. 

Disparitions forcées

Par lionel, 29 September, 2023

Les disparitions forcées sont des actions extrêmement graves commises par des agents d'un État avec la protection de celui-ci (enquêtes extrêmement dures voire impossibles, obstruction de juges qui protègent ces dispartions…) qui consistent à faire « disparaître de la circulation » certaines personnes qui dérangent :

  • soit en les tuant directement (« opérations homo » pour « homicide ») ;
  • soit en les envoyant pour des périodes plus ou moins longues dans des endroits dont ces personnes ne pourront pas sortir en les privant d'un droit effectif à l'étude de leur situation (prisons, hopitaux psychiatriques…).

 

Pour rappel, les assassinats commandités par des États sont formellement interdits, beaucoup plus que les simples assassinats commis par des particuliers, car d'une part le nombre de meurtres pour une prétendue raison d'État est incommensurable (les États tuent beaucoup plus que les simples Landru, Fourniret ou Lelandais), et d'autre part les services publics (police, justice…) sont souvent bloqués dans les enquêtes, ce qui rend ces crimes souvent impunis. Les Nations Unies condamnent fortement ces crimes d'État.

 

Définition

Wikipédia définit les « disparitions forcées » comme ce qui « se produit quand une organisation, le plus souvent un État, fait disparaître une ou plusieurs personnes par le meurtre ou la séquestration, tout en niant avoir arrêté la personne ou avoir connaissance d'où elle se trouverait : aucun certificat de décès n'est donc délivré, et, même si la personne n'est pas tuée, ni prescription ni habeas corpus ne sont acceptés. La disparition forcée est un crime contre l'humanité selon le statut de Rome de la cour pénale internationale depuis le 1er juillet 2002. »

En France, l'article 221-12 du Code pénal définit les disparitions forcées comme étant :

Constitue une disparition forcée l’arrestation, la détention, l’enlèvement ou toute autre forme de privation de liberté d’une personne, dans des conditions la soustrayant à la protection de la loi, par un ou plusieurs agents de l’État ou par une personne ou un groupe de personnes agissant avec l’autorisation, l’appui ou l’acquiescement des autorités de l’État, lorsque ces agissements sont suivis de sa disparition et accompagnés soit du déni de la reconnaissance de la privation de liberté, soit de la dissimulation du sort qui lui a été réservé ou de l’endroit où elle se trouve.

La disparition forcée est punie de la réclusion criminelle à perpétuité.

(source : Legifrance)

 

Application

Dans les disparitions forcées que je dénonce en France passent par plusieurs étapes.

  1. Des pièges extrêmement sophistiqués commencent à être fabriqués au sein du ministère de la Justice, Direction des affaires criminelles et des grâces (DACG) pour envoyer les victimes en prison sur la base de faux témoignages de policiers, ou dans des hôpitaux psychiatriques.
  2. Ensuite, s'« il le faut » (selon ces criminels au sein de l'État et de la justice — car en réalité il ne faut jamais tuer des gens), des ordres d'assassinat sont signés depuis l'Élysée par le président de la République (dernièrement François Hollande puis Emmanuel Macron) et des militaires, souvent de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure), service Actions passent à l'acte.

 

La DACG

Dans le cas dont je prétends relever, les disparitions forcées sont coordonnées par une agence gouvernementale, le « bureau de la police judiciaire » au sein de la DACG (ministère de la Justice) à Paris.

À mon époque, c'était un jeune, Olivier Rabot, qui était à sa tête. À cause de son inexpérience, je suis certain qu'il n'est pas l'inventeur de ces pièges, mais un simple exécutant.

Ils mettaient en œuvre un stratagème assez évolué et quasiment imparable pour la plupart de leurs victimes. Cet homme parisien disposait d'une liste de commissariats « complices » dans différents départements. Ils choisissaient un département différent de celui où vivait leur victime. Ils faisaient dresser des ordres de mission d'intervention bidons à ces policiers qui devaient être en civil et employer un ancien véhicule presque banalisé mais à plaque administrative portant la lettre D et venant d'un département différent (car ces véhicules sont les seuls à nécessiter un ordre de mission préalable — ceux qui ont fomenté ces pièges ont réfléchi à plusieurs détails ; il y a préméditation). Le jour du piège, ils stationnaient devant l'endroit où se trouvait leur victime. Un complice des policiers agressait leur victime ou commettait une infraction contre lui (dans mon affaire, ils ont défoncé la porte de mon domicile). Et ensuite ils s'en allaient. (Mais leur ordre de mission restait au commissariat de la ville où ils venaient de tedre un piège.)

Lorsque la victime allait se plaindre à son commissariat, soit par une main courante, soit par une plainte, alors les policiers qui étaient en planque et qui avaient laissé leur ordre de mission étaient interrogés sur ce qu'ils avaient vu. Et là, ils se mettaient à nier les faits. Devant un juge, la parole des policiers en planque était supérieure à celle du plaignant, et ce dernier était condamné soit à de la prison pour dénonciation de faits imaginaires, soit était envoyé en hôpital psychiatrique.

 

À ce stade, il n'y a pas forcément de « disparition forcée »

En effet, avant même que la victime ne soit condamnée, il pouvait y avoir des « arrangements » avec les policiers ou surtout leurs commanditaires.

Illustrations :

  1. Cas simple et bénin

Ce piège pouvait avoir été dressé contre une victime qui disposait, par exemple, d'un terrain ou d'un bien immobilier que des notables en réseau (toujours par exemple, des francs-maçons). Jusqu'à présent la victime refusait de céder ou brader son bien. Maintenant qu'elle comprend qu'elle s'est faite piéger, elle abandonne son bien et en échange l'affaire (le piège qui lui a été tendu) est classée sans suite. La victime s'est faite spolier, mais rien contre sa personne ; ce n'est qu'un simple délit.

  1. Cas un peu plus grave, mais toujours bénin

La victime ne fait pas de lien entre ce qui lui est arrivé et ce que les policiers « malfrats » lui demandent. La personne imagine qu'elle va pouvoir se défendre devant le juge, sans penser que le magistrat peut également être complice, notamment s'il est lui aussi franc-maçon (toujours à titre d'exemple — tous les juges complices ne sont pas forcément francs-maçons).

La victime est alors condamnée soit à une peine d'amende, soit à de la prison avec sursis. Mais elle n'est pas arrêtée. La victime peut également être condamnée à une peine de prison ferme, mais sans « mandat de dépôt », et donc rester libre.

On lui fait comprendre que la prochaine fois, elle sera arrêtée, et donc qu'elle doit obtempérer face à ceux qui lui ont tendu le piège. Nous restons dans le cadre d'un simple délit.

  1. Envoi en hôpital psychiatrique, ça commence à être grave

Toujours sur la base des fausses déclarations des policiers « témoins », la victime peut ne pas être condamnée à une peine de prison ferme mais à la place, on la déclare atteinte d'une maladie mentale et elle est envoyée pour une courte durée en hôpital psychiatrique.

  1. Arrestation et privation de liberté

Là, nous rentrons dans le crime. Que la victime du piège soit condamnée à une peine de prison et incarcérée, dès lors que ça dure plus d'une semaine (ce qui est le cas de toutes les peines de prison) ou que la personne soit envoyée en hôpital psychiatrique

[rédaction à poursuivre]