Témoin vivant d'une affaire criminelle gouvernementale, je suis en danger de mort.

Alors, j'offre une prime conséquente de 100 000 euros (« 100 k »),
voire peut-être plus (à discuter…) pour ceux qui m'aideront. 

Quelques moyens d'action

Par lionel, 19 juin, 2024

Les moyens d'action peuvent être multiples.

  • Facile : lire et écouter ce que je dénonce, au premier degré (pas de projection)
  • Plus difficile : tirer de la force via la lecture de demandes en justice surprenantes

 

En effet, l'une des difficultés assez souvent rencontrée se situe au niveau de nos propres comportements, qui sont utilisés par nos adversaires contre nous : nous posons trop souvent des limites dans nos esprits.

Si quelqu'un d'autre bouleverse nos croyances de prétendues limites, alors nous pouvons à nouveau avancer plus loin. En développement personnel, nous insistons sur le fait qu'une personne qui reste dans sa sphère de confort ne peut pas progresser aussi bien que quelqu'un qui sort de son confort pour aller dans la zone d'inconfort.

Je reformule : pour progresser, il faut impérativement sortir de sa zone de confort (c'est valable dans tous les domaines, même pour les sportifs — ils doivent souffrir lors des entraînements, pas seulement au moment des compétitions).

 

Dépasser nos croyances limitantes en matière de justice

Rappel : la justice ne peut être rendue que lorsque les infractions ont cessé. Parfois, le recours à la justice pour faire cesser une infraction peut être nécessaire, mais si l'arrêt de l'infraction ne fonctionne pas, il faut retourner se battre, soit encore au niveau judiciaire, soit sur d'autres pistes, mais ne surtout pas accepter que de mauvais juges ou de mauvais juristes tentent de nous faire croire que la justice aurait été rendue. C'est faux.

 

Remarque à mon propos (Lionel Aubert)

Je me « débrouille » en droit depuis de nombreuses années, et y compris en droit constitutionnel. À titre d'exmple, à la fin des années 2000 et début 2010, j'avais été durant 5 ans permanent pour une association de défense des consommateurs. Également, en 2014, j'avais réussi, sans avocat, à aller jusque devant le Conseil constitutionnel avec une QPC (n° 2014-402 QPC du 13 juin 2014). Je veux dire par là que je sais écrire des recours très polis (sinon je ne serais jamais monté si haut).

 

Les croyances limitantes des gens face à la justice

Toutefois, les gens se trompent trop souvent en croyant que la justice actuelle devrait être respectée voire mise sur un piédestal, et ces mêmes gens vont d'autres fois critiquer cette même justice, en disant que les juges se protègent entre eux, ou que les juges rendent des décisions politiques, ou encore que la justice serait infiltrée par la franc-maçonnerie…

Il s'agit d'une grosse erreur de comportement, répétée malheureusement par la majorité de nos concitoyens : si nous savons que la justice est critiquable, pourquoi les gens iraient-ils supplier quelqu'un (un juge) de rendre une décision critiquable ? Trop de personnes sont bloquées par leur propre inconsistance.

Cependant, parfois nous n'avons pas d'autre choix que d'aller devant des juges (par exemple pour faire appel d'une décision). Nous ne pouvons pas attendre qu'un jugement favorable nous soit rendu (et l'accpeter), tandis que s'il est défavorable, critiquer le juge. Non ! Ce comportement des gens n'est pas acceptable (et c'est à juste titre qu'il est interdit de critiquer les décisions de justice).

Ce qu'il faut faire, c'est expliquer avant que le jugement ne soit rendu les raisons de notre défiance envers tel ou tel juge, ou telle ou telle juridiction.

Il m'est arrivé à 2 reprises de douter de la partialité des juges de 2 cours d'appel (Versailles puis Rouen). Avant que les juges d'appel ne rendent leur sentence, je les ai informés par lettre recommandée et par une vidéo sur les réseaux sociaux que je n'accepterai pas ce qu'ils rendraient.

Par exemple, j'ai posté une vidéo sur YouTube intitullée « Un juge de la cour d'appel s'apprête-t-il à fausser un jugement ? ». Ça, les juges ont horreur que nous nous arrogions le droit de remettre en cause leur honnêteté. Et du coup, ils m'ont rendu un jugement favorable en condamnant mon adversaire à 1 300 euros… Si je n'avais pas remis en cause préalablement ces juges, je suis à peu près certain que j'aurais perdu mon procès… Toutefois, pour rester cohérent, si je mets en cause ces juges et leurs décisions, je ne peux pas accepter de l'argent issu d'un jugement que j'affirme faussé (sinon, c'est du recel de ma part).

 Un an plus tard, j'ai réitéré mais avec un simple recommandé dans lequel j'indiquais que j'allais attaquer ces juges (différente affaire, cour d'appel de Rouen cette fois). Et là encore, ils m'ont donné raison (mais sans argent cette fois).

Les manières d'agir face aux juges sont multiples.

Une autre manière d'agir est de joindre une QPC remettant en cause que leurs jugements puissent être rendus au nom du peuple français. À une autre occasion, j'ai réellement présenté une telle QPC dans laquelle j'écris que les jugements sont rendus par une caste (sic), celle des juges, et non pas par le peuple.

  • Extrait de la QPC dans laquelle j'écris à propos d'un jugement prétendu rendu au nom du peuple français que ce n'est pas vrai (en comparaison à la pipe de Magritte) :

Nous ne devons pas avoir peur des juges et de leurs jugements.

Encore à une autre occasion, cette fois contre Facebook France et son patron Laurent Solly, j'avais utilisé ce qu'on appelle les « prolégomènes » (une assez longue intro) pour faire monter la propre dissonance cognitive du juge.

 

Quelques exemples

 

Avec des explications en vidéo concernant cette dernière lettre :

 

[Rédaction à poursuivre]